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Les revenus passifs : existent-ils vraiment ?

21 octobre 2020

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Formatrice business pour les métiers du service et de l'accompagnement sur le web.

Ce que ça veut dire au juste : j'aide les solopreneurs à monter leur activité sur le web, trouver (des tas) de clients... et construire un business qui leur donne envie de sauter du lit tous les matins !

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 Maëlane

Vous êtes de plus en plus nombreux à vous intéresser aux revenus dits « passifs ». Et pour cause : c’est la promesse de gagner de l’argent même quand on est occupé à faire autre chose.

Rien à voir, par exemple, avec l’activité de freelance, qui nécessite votre présence et votre implication lors d’une mission pour recevoir une rémunération.

Après 6 mois d’exploration des revenus passifs à travers le business model du membership, il m’a paru important de faire un bilan complet. Spoiler alert : les revenus passifs sont certes très intéressants pour un entrepreneur… Mais ils n’ont rien de passif !

C’est quoi, un revenu passif ?

Le revenu passif, c’est le fait de recevoir de l’argent qui ne demande pas notre participation active.

Pour rappel, générer un revenu passif ne se pas fait “sans rien faire”, c’est plutôt le fait de pouvoir gagner de l’argent même quand on fait autre chose.

Les différents types de revenus passifs

  • Les ventes de produits numériques (formations, ebooks, templates… = on continue à être payé quand le produit est fini)
  • Les ventes d’abonnements (membership)
  • Les dividendes et autres revenus d’actionnaires
  • Les intérêts des placements financiers : PEL, PEA, assurance-vie…
  • Les loyers des propriétaires
  • Les commissions d’affiliation
  • Les royalties pour les livres ou musiques dont on est l’auteur…

Parmi ces revenus passifs, il y a ceux qui nécessitent un capital de base (des fonds à placer, un appartement à louer) et ceux qui peuvent être construits seuls (actifs créés : formation en ligne).

Ici, on se concentre principalement sur les revenus des produits numériques.

Pourquoi chercher autant les revenus passifs ?

Quand on est salarié ou freelance en 1:1, on perçoit des revenus quand on vient au travail ou quand on travaille pour un client.

La différence, c’est que le freelance qui part en vacances ne perçoit plus aucun revenu… Ce trou dans la trésorerie amène automatiquement du stress puisqu’on ne peut compter que sur des actifs/ressources qui ne nous appartiennent pas !

Travailler en 1:1 avec un client c’est vendre son temps, et arrive un moment où l’emploi du temps n’est pas extensible. Résultat : on est limité à un nombre de clients et à un certain chiffre d’affaires.

La solution ici serait de faire du 1 to many, pour :

  • Ne plus être limité dans ce qu’on gagne
  • Ne plus dépendre de quelqu’un pour recevoir de l’argent
  • Pouvoir se consacrer à d’autres activités

C’est une bonne stratégie à mettre en place en freelance car on diversifie ses revenus.

Une partie avec des prestations 1:1 et une partie avec des revenus passifs pour sécuriser les rentrées d’argent.

Les revenus passifs n’ont rien de passif ni de magique

J’ai dû mal avec cette notion de revenus “passifs”… Elle est bien souvent utilisée par les vendeurs de rêve pour jouer sur les souffrances (travail pénible, ennui, manque d’argent), elle est compliquée à mettre en place, on n’a pas forcément beaucoup de résultats financiers et quoi qu’on en dise… ce n’est pas passif !

Aujourd’hui je vis d’un modèle dit de « revenus passifs » qui est la Micropreneure Academy, sauf que :

  • Lors de mon premier lancement, cela faisait 1 an que je créais du contenu et entretenais ma communauté : création de liste e-mail, trafic, confiance de l’audience…
  • J’ai passé des mois à construire ce projet
  • Ce n’était pas viable tout de suite (j’ai cumulé avec mes missions freelance à côté)
  • Je passe aujourd’hui beaucoup de temps à aider les membres, créer du contenu et améliorer l’Academy (sans compter tout le temps passé à promouvoir mon activité auprès d’une nouvelle audience)

La construction et « l’entretien » d’une audience est difficile, chronophage, incertain, surtout si on considère qu’on convertit entre 2 et 4% de notre audience à chaque lancement.

Mes conseils pour vous lancer

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